Rouler plus vert
Lancement d'une importante étude sur les véhicules hybrides à batterie rechargeable
Le Service de sécurité et de prévention de l’Université a acquis, le printemps dernier, une première voiture hybride à batterie rechargeable. Ce geste ne vise pas seulement à améliorer l’environnement du campus: l’auto fait partie d’une étude innovatrice.
En effet, une équipe multidisciplinaire de chercheurs de l’Université vient d’amorcer une série de travaux qui portent tant sur l’amélioration technologique, en conditions réelles, des véhicules hybrides à batterie rechargeable que sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux liés à l’utilisation de ces voitures.
Des chercheurs de la Faculté des sciences de l’administration étudient, sous la supervision du professeur Michel Gendron, divers impacts économiques, environnementaux et sociaux de l’utilisation de ce type de véhicule. Ils cherchent notamment à en évaluer la rentabilité financière pour les consommateurs, à mesurer les coûts de l’installation de bornes d’alimentation ainsi que les modes de paiement lors des recharges. Ils élaborent également, avec le mouvement Desjardins, des contrats financiers pour ce genre de véhicule.
Des chercheurs de la Faculté des sciences et de génie évaluent, quant à eux, le comportement de cette voiture en milieu urbain, en optimisent le rendement et les performances, étudient les façons d’améliorer les techniques de recharge par le développement de bornes d’alimentation et testent des technologies d’interconnexion entre la batterie et le réseau électrique.
La voiture testée dans le cadre de ce projet-pilote est une hybride de type Prius, dont la batterie standard a été remplacée par une batterie au lithium-ion haute performance, lui assurant une autonomie de plus de 70 km. Cette batterie peut être branchée et rechargée à partir d’une prise de courant domestique. Si les résultats de ce premier projet-pilote s’avèrent concluants, une deuxième phase, qui pourrait inclure jusqu’à 50 véhicules, sera étendue à la grandeur de la Ville de Québec.
Haut de page
En effet, une équipe multidisciplinaire de chercheurs de l’Université vient d’amorcer une série de travaux qui portent tant sur l’amélioration technologique, en conditions réelles, des véhicules hybrides à batterie rechargeable que sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux liés à l’utilisation de ces voitures.
Des chercheurs de la Faculté des sciences de l’administration étudient, sous la supervision du professeur Michel Gendron, divers impacts économiques, environnementaux et sociaux de l’utilisation de ce type de véhicule. Ils cherchent notamment à en évaluer la rentabilité financière pour les consommateurs, à mesurer les coûts de l’installation de bornes d’alimentation ainsi que les modes de paiement lors des recharges. Ils élaborent également, avec le mouvement Desjardins, des contrats financiers pour ce genre de véhicule.
Des chercheurs de la Faculté des sciences et de génie évaluent, quant à eux, le comportement de cette voiture en milieu urbain, en optimisent le rendement et les performances, étudient les façons d’améliorer les techniques de recharge par le développement de bornes d’alimentation et testent des technologies d’interconnexion entre la batterie et le réseau électrique.
La voiture testée dans le cadre de ce projet-pilote est une hybride de type Prius, dont la batterie standard a été remplacée par une batterie au lithium-ion haute performance, lui assurant une autonomie de plus de 70 km. Cette batterie peut être branchée et rechargée à partir d’une prise de courant domestique. Si les résultats de ce premier projet-pilote s’avèrent concluants, une deuxième phase, qui pourrait inclure jusqu’à 50 véhicules, sera étendue à la grandeur de la Ville de Québec.
Haut de page
- Aucun commentaire pour le moment.