L’Université Laval maintient le rang d’excellence
L'Université se classe honorablement dans les différents résultats de sondage.
Par Isabelle Boin-Serveau
Comme chaque année, la fin de l’automne est marquée par le temps des bilans et des classements. Cette année encore, l’Université Laval figure dans le peloton de tête des grandes universités canadiennes et se distingue, entre autres, par la qualité de son corps professoral, par l’importance des fonds recueillis pour la recherche et par le degré de satisfaction de ses étudiants.
Trois organisations, soit Maclean’s, The Globe and Mail et Research Infosource, ont procédé à des sondages utilisant différentes méthodologies. Les deux premières ont fondé leur étude sur un questionnaire envoyé aux diplômés et la troisième sur des renseignements provenant de Statistique Canada, de la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ) ainsi qu’à partir de sa propre banque de données concernant les universités canadiennes.
Des étudiants satisfaits
Près de 12334 diplômés, (10884 anglophones et 1450 francophones) ayant étudié en 1999, 2000 et 2001 dans les 46 universités canadiennes participantes se sont prêtés au jeu du questionnaire Maclean’s. Parmi ceux qui ont poursuivi leurs études à l’Université Laval, 96% se sont déclarés satisfaits de leur expérience universitaire.
Une expérience universitaire positive qui est très révélatrice selon le recteur Michel Pigeon: «Les étudiants trouvent que nous dispensons un très bon enseignement et que la vie étudiante est forte et dynamique. Nous sommes situés dans une ville qu’ils apprécient tout particulièrement. Tout cela contribue à expliquer notre capacité de maintenir notre effectif étudiant, notamment durant le premier cycle.» En effet, dans la catégorie des universités qui possèdent une faculté de médecine, l’Université Laval se place au troisième rang pour le nombre d’étudiants qui poursuivent leurs études après la première année.
Quant à la qualité de l’enseignement, elle est certainement attribuée au nombre important de professeurs titulaires qui dispensent leurs cours aux premières années du baccalauréat, plaçant l’Université Laval en troisième place. Enfin, l’enquête de Maclean’s situe l’Université Laval à la troisième place en ce qui a trait à l’accueil des étudiants étrangers, prouvant ainsi que la réputation d’excellence de son enseignement rayonne bien au-delà de nos frontières.
L’enquête du Globe and Mail corrobore l’engouement des étudiants pour leur université. Le sondage, comprenant une centaine de questions, a été effectué auprès de 27811 diplômés canadiens. Les universités ont été divisées, selon leur taille, en trois catégories; les grandes (plus 25000 inscrits), les moyennes (entre 12500 et 25000 inscrits) et les petites (moins de 12500 inscrits). Dans la catégorie des grandes universités, celle de Laval arrive en troisième position, derrière l’Université de l’Alberta et celle de Colombie-Britannique et devant l’Université de Montréal. La sécurité sur le campus, la disponibilité des places dans les cours, la facilité d’inscription, la liberté d’expression et la diversité culturelle ne sont que quelques-uns des points qui ont recueilli la faveur (A) des étudiants. Preuve que la politique d’ouverture prônée par l’Université Laval répond parfaitement aux attentes de ses étudiants.
Au top du financement en recherche
Selon le recteur Michel Pigeon, la place de 11e parmi les 15 universités canadiennes possédant une faculté de médecine ne reflète pas la réalité de l’Université Laval, notamment parce que le classement de Maclean’s ne tient pas compte de ses activités de recherche. L’étude de la firme Research Infosource étaye d’ailleurs ses propos. En effet, elle confirme tous les efforts au chapitre des fonds de recherche effectués par l’Université Laval durant l’année 2003, et la place au 5e rang (sur 50 universités), améliorant sa position d’une place par rapport à l’année 2002.
Pour établir ses résultats annuels, Research Infosource a tenu compte du montant total des fonds obtenus pour la recherche et du nombre de publications effectuées par les chercheurs. À l’Université Laval, ces derniers auraient ainsi obtenu 288 millions de dollars, en hausse de 33% par rapport à l’année 2002 et établissant du même coup une performance nettement au-dessus des 12,6% de la moyenne canadienne. Par ailleurs, l’Université Laval dépasse l’Université de l’Alberta, qui, l’an dernier, la devançait de 71 millions de dollars.
Le recteur Michel Pigeon se réjouit tout particulièrement de ce cinquième rang au sein du prestigieux club des 14 universités inscrites au palmarès financier pour la recherche. «En 2003, nous avons obtenu davantage d’argent par professeur que l’Université de Toronto, soit une moyenne de 208000$ contre 198000$, analyse-t-il. Cela démontre notre dynamisme et reflète également que presque le quart de nos étudiants sont aux cycles supérieurs».
Et selon le vice-recteur à la recherche, Raymond Leblanc, la performance de l’Université Laval est également due aux excellents résultats des chercheurs qui ont participé aux concours de la Fondation canadienne pour l’innovation (FCI) et récolté d’importantes sommes pour poursuivre leurs travaux.
Ce bref tour d’horizon des classements de Maclean’s, du Globe and Mail et de Research Infosource, permet de mettre en évidence que l’Université Laval figure aux côtés des plus grandes universités canadiennes. Et le recteur Michel Pigeon de conclure que «l’on se situe très bien parmi la douzaine d’entre elles, notamment en ce qui concerne l’immense satisfaction dont témoignent nos étudiants… Cependant, il importe peu que l’on soit premier, sixième ou douzième. L’essentiel est de nous classer dans le peloton de tête des belles grandes universités au pays!» Un constat qui devrait remplir de fierté les plus de 200 000 diplômés de l’Université Laval répartis à travers le monde.
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Trois organisations, soit Maclean’s, The Globe and Mail et Research Infosource, ont procédé à des sondages utilisant différentes méthodologies. Les deux premières ont fondé leur étude sur un questionnaire envoyé aux diplômés et la troisième sur des renseignements provenant de Statistique Canada, de la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ) ainsi qu’à partir de sa propre banque de données concernant les universités canadiennes.
Des étudiants satisfaits
Près de 12334 diplômés, (10884 anglophones et 1450 francophones) ayant étudié en 1999, 2000 et 2001 dans les 46 universités canadiennes participantes se sont prêtés au jeu du questionnaire Maclean’s. Parmi ceux qui ont poursuivi leurs études à l’Université Laval, 96% se sont déclarés satisfaits de leur expérience universitaire.
Une expérience universitaire positive qui est très révélatrice selon le recteur Michel Pigeon: «Les étudiants trouvent que nous dispensons un très bon enseignement et que la vie étudiante est forte et dynamique. Nous sommes situés dans une ville qu’ils apprécient tout particulièrement. Tout cela contribue à expliquer notre capacité de maintenir notre effectif étudiant, notamment durant le premier cycle.» En effet, dans la catégorie des universités qui possèdent une faculté de médecine, l’Université Laval se place au troisième rang pour le nombre d’étudiants qui poursuivent leurs études après la première année.
Quant à la qualité de l’enseignement, elle est certainement attribuée au nombre important de professeurs titulaires qui dispensent leurs cours aux premières années du baccalauréat, plaçant l’Université Laval en troisième place. Enfin, l’enquête de Maclean’s situe l’Université Laval à la troisième place en ce qui a trait à l’accueil des étudiants étrangers, prouvant ainsi que la réputation d’excellence de son enseignement rayonne bien au-delà de nos frontières.
L’enquête du Globe and Mail corrobore l’engouement des étudiants pour leur université. Le sondage, comprenant une centaine de questions, a été effectué auprès de 27811 diplômés canadiens. Les universités ont été divisées, selon leur taille, en trois catégories; les grandes (plus 25000 inscrits), les moyennes (entre 12500 et 25000 inscrits) et les petites (moins de 12500 inscrits). Dans la catégorie des grandes universités, celle de Laval arrive en troisième position, derrière l’Université de l’Alberta et celle de Colombie-Britannique et devant l’Université de Montréal. La sécurité sur le campus, la disponibilité des places dans les cours, la facilité d’inscription, la liberté d’expression et la diversité culturelle ne sont que quelques-uns des points qui ont recueilli la faveur (A) des étudiants. Preuve que la politique d’ouverture prônée par l’Université Laval répond parfaitement aux attentes de ses étudiants.
Au top du financement en recherche
Selon le recteur Michel Pigeon, la place de 11e parmi les 15 universités canadiennes possédant une faculté de médecine ne reflète pas la réalité de l’Université Laval, notamment parce que le classement de Maclean’s ne tient pas compte de ses activités de recherche. L’étude de la firme Research Infosource étaye d’ailleurs ses propos. En effet, elle confirme tous les efforts au chapitre des fonds de recherche effectués par l’Université Laval durant l’année 2003, et la place au 5e rang (sur 50 universités), améliorant sa position d’une place par rapport à l’année 2002.
Pour établir ses résultats annuels, Research Infosource a tenu compte du montant total des fonds obtenus pour la recherche et du nombre de publications effectuées par les chercheurs. À l’Université Laval, ces derniers auraient ainsi obtenu 288 millions de dollars, en hausse de 33% par rapport à l’année 2002 et établissant du même coup une performance nettement au-dessus des 12,6% de la moyenne canadienne. Par ailleurs, l’Université Laval dépasse l’Université de l’Alberta, qui, l’an dernier, la devançait de 71 millions de dollars.
Le recteur Michel Pigeon se réjouit tout particulièrement de ce cinquième rang au sein du prestigieux club des 14 universités inscrites au palmarès financier pour la recherche. «En 2003, nous avons obtenu davantage d’argent par professeur que l’Université de Toronto, soit une moyenne de 208000$ contre 198000$, analyse-t-il. Cela démontre notre dynamisme et reflète également que presque le quart de nos étudiants sont aux cycles supérieurs».
Et selon le vice-recteur à la recherche, Raymond Leblanc, la performance de l’Université Laval est également due aux excellents résultats des chercheurs qui ont participé aux concours de la Fondation canadienne pour l’innovation (FCI) et récolté d’importantes sommes pour poursuivre leurs travaux.
Ce bref tour d’horizon des classements de Maclean’s, du Globe and Mail et de Research Infosource, permet de mettre en évidence que l’Université Laval figure aux côtés des plus grandes universités canadiennes. Et le recteur Michel Pigeon de conclure que «l’on se situe très bien parmi la douzaine d’entre elles, notamment en ce qui concerne l’immense satisfaction dont témoignent nos étudiants… Cependant, il importe peu que l’on soit premier, sixième ou douzième. L’essentiel est de nous classer dans le peloton de tête des belles grandes universités au pays!» Un constat qui devrait remplir de fierté les plus de 200 000 diplômés de l’Université Laval répartis à travers le monde.
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