En un éclair
Des nouvelles des clubs Rouge et Or, d'un nouveau programme de stages industriels, d'un mentorat en science et techno, d'un comité sur le développement durable et bien plus...
LE SOCCER ATTEINT LES SOMMETS
Cette année, la meilleure performance d’une équipe du Programme Rouge et Or a été la deuxième place du Club de soccer masculin au Championnat canadien disputé à Vancouver. Le Club de soccer féminin a lui aussi atteint les finales canadiennes, mais a dû se contenter d’une cinquième place. Quant au toujours populaire Club de football, il a enregistré le 17 novembre sa première défaite après 10 matches sans faille, lors de la demi-finale canadienne contre les Huskies de l’Université Saint Mary’s (Halifax). La semaine précédente, le Club avait remporté pour une cinquième fois de suite la coupe Dunsmore qui récompense l’équipe championne du Québec. Parmi les autres clubs du Rouge et Or qui ont complété leur saison avant les Fêtes, les équipes masculine et féminine de golf ont également remporté leur championnat provincial respectif.
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STAGES RÉMUNÉRÉS EN SCIENCES ET GÉNIE
Partir pendant 12 mois en stage rémunéré avant de revenir sur le campus pour compléter la dernière année du baccalauréat: voilà ce qu’offre le tout nouveau Programme de stages industriels aux étudiants de la Faculté de sciences et génie. La formule est avantageuse pour les étudiants et les entreprises. Au terme de leur formation, les premiers auront à la fois un diplôme et une année d’expérience professionnelle, en plus d’avoir bénéficié d’un bon salaire. Quant aux entreprises, elles apprécient avoir des stagiaires sur une longue période, ce qui optimise les coûts liés à la formation. Les étudiants inscrits dans une douzaine de programmes d’études (chimie, génie civil, géologie…) sont admissibles à ces stages.
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DES MENTORS À LA RESCOUSSE
Depuis septembre, 26 finissants de la Faculté des sciences et du génie sont jumelés à 140 jeunes de deux cégeps de Québec nouvellement admis en sciences de la nature, en sciences, lettres et arts ou en technique de l’informatique. Tous participent au programme Mentorat pour l’intégration et la réussite des étudiants en sciences (Mires), instauré en 2006 par l’Université. Et ce jumelage fait vraiment une différence, révèle une analyse. Au terme de la première année du programme, les cégépiens participants avaient mieux performé que leurs pairs (80% sans échec, comparativement à 68% dans les groupes de contrôle). Ils étaient également plus sûrs de leur orientation scolaire, connaissaient mieux les possibilités d’études et de carrière dans le domaine des sciences et technologies, et démontraient plus d’intérêt pour l’actualité scientifique.
Les mentors sont engagés et formés par l’Université. Chacun se charge de cinq à six cégépiens qu’il rencontre individuellement au moins huit fois par session, en plus de les accompagner lors de visites de laboratoires et d’entreprises. Actuellement, deux jeunes sur cinq admis dans les programmes de sciences et technologies, au cégep comme à l’université, ne terminent pas leurs études, une situation que les responsables de Mires entendent bien changer.
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DÉVELOPPEMENT DURABLE SUR LE CAMPUS
Afin de concrétiser l’un des principaux engagements de la nouvelle équipe de direction, l’Université se dote d’une Table de concertation sur le développement durable. Formée de 12 membres et de quatre personnes-ressources, le nouvel organe disposera d’un fonds, créé tout aussi récemment et destiné à financer différents projets émanant de la communauté universitaire. Les projets retenus pourront concerner le fonctionnement courant, la gestion administrative, l’aménagement du campus ou la vie communautaire et étudiante. La Table de concertation aura aussi pour mandat de définir une politique de développement durable institutionnelle. «Nous voulons faire de l’Université un banc d’essai en développement durable», précise Éric Bauce, vice-recteur exécutif et au développement, de qui relève la Table.
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DEUX NOUVEAUX DOYENS
La Faculté des études supérieures a une nouvelle doyenne: Marie Audette, professeure au Département de biologie médicale de la Faculté de médecine et chercheure au Centre de recherche en endocrinologie moléculaire et oncologique du CHUQ. De son côté, la Faculté de foresterie et de géomatique sera désormais dirigée par Robert Beauregard, titulaire de la Chaire industrielle sur les bois d’ingénierie structuraux et d’apparence (CIBISA) au Département des sciences du bois et de la forêt.
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PLUS DE CHAIRES
L’ajout des convoitées chaires de recherche du Canada à l’Université se poursuit avec la création de la Chaire en biologie de la chromatine et en épigénétique. Son titulaire, Jacques Côté de la Faculté de médecine, profitera d’un soutien financier pendant sept ans. Par ailleurs, une chaire industrielle a aussi vu le jour cet automne: la Chaire de recherche RBC en innovations financières, dirigée par Marie-Claude Beaulieu de la Faculté d’administration.
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BOURSE RHODES
L’une des deux bourses Rhodes attribuées au Québec va cette année à une étudiante à la maîtrise en éthique appliquée à la santé, Annick Routhier-Labadie. Native de Cap-Rouge, la femme de 21 ans est également membre de l’équipe Rouge et Or de basketball. La prestigieuse bourse lui permettra de poursuivre ses études de deuxième cycle en génie biomédical à l’Université d’Oxford, en Grande-Bretagne.
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Cette année, la meilleure performance d’une équipe du Programme Rouge et Or a été la deuxième place du Club de soccer masculin au Championnat canadien disputé à Vancouver. Le Club de soccer féminin a lui aussi atteint les finales canadiennes, mais a dû se contenter d’une cinquième place. Quant au toujours populaire Club de football, il a enregistré le 17 novembre sa première défaite après 10 matches sans faille, lors de la demi-finale canadienne contre les Huskies de l’Université Saint Mary’s (Halifax). La semaine précédente, le Club avait remporté pour une cinquième fois de suite la coupe Dunsmore qui récompense l’équipe championne du Québec. Parmi les autres clubs du Rouge et Or qui ont complété leur saison avant les Fêtes, les équipes masculine et féminine de golf ont également remporté leur championnat provincial respectif.
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STAGES RÉMUNÉRÉS EN SCIENCES ET GÉNIE
Partir pendant 12 mois en stage rémunéré avant de revenir sur le campus pour compléter la dernière année du baccalauréat: voilà ce qu’offre le tout nouveau Programme de stages industriels aux étudiants de la Faculté de sciences et génie. La formule est avantageuse pour les étudiants et les entreprises. Au terme de leur formation, les premiers auront à la fois un diplôme et une année d’expérience professionnelle, en plus d’avoir bénéficié d’un bon salaire. Quant aux entreprises, elles apprécient avoir des stagiaires sur une longue période, ce qui optimise les coûts liés à la formation. Les étudiants inscrits dans une douzaine de programmes d’études (chimie, génie civil, géologie…) sont admissibles à ces stages.
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DES MENTORS À LA RESCOUSSE
Depuis septembre, 26 finissants de la Faculté des sciences et du génie sont jumelés à 140 jeunes de deux cégeps de Québec nouvellement admis en sciences de la nature, en sciences, lettres et arts ou en technique de l’informatique. Tous participent au programme Mentorat pour l’intégration et la réussite des étudiants en sciences (Mires), instauré en 2006 par l’Université. Et ce jumelage fait vraiment une différence, révèle une analyse. Au terme de la première année du programme, les cégépiens participants avaient mieux performé que leurs pairs (80% sans échec, comparativement à 68% dans les groupes de contrôle). Ils étaient également plus sûrs de leur orientation scolaire, connaissaient mieux les possibilités d’études et de carrière dans le domaine des sciences et technologies, et démontraient plus d’intérêt pour l’actualité scientifique.
Les mentors sont engagés et formés par l’Université. Chacun se charge de cinq à six cégépiens qu’il rencontre individuellement au moins huit fois par session, en plus de les accompagner lors de visites de laboratoires et d’entreprises. Actuellement, deux jeunes sur cinq admis dans les programmes de sciences et technologies, au cégep comme à l’université, ne terminent pas leurs études, une situation que les responsables de Mires entendent bien changer.
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DÉVELOPPEMENT DURABLE SUR LE CAMPUS
Afin de concrétiser l’un des principaux engagements de la nouvelle équipe de direction, l’Université se dote d’une Table de concertation sur le développement durable. Formée de 12 membres et de quatre personnes-ressources, le nouvel organe disposera d’un fonds, créé tout aussi récemment et destiné à financer différents projets émanant de la communauté universitaire. Les projets retenus pourront concerner le fonctionnement courant, la gestion administrative, l’aménagement du campus ou la vie communautaire et étudiante. La Table de concertation aura aussi pour mandat de définir une politique de développement durable institutionnelle. «Nous voulons faire de l’Université un banc d’essai en développement durable», précise Éric Bauce, vice-recteur exécutif et au développement, de qui relève la Table.
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DEUX NOUVEAUX DOYENS
La Faculté des études supérieures a une nouvelle doyenne: Marie Audette, professeure au Département de biologie médicale de la Faculté de médecine et chercheure au Centre de recherche en endocrinologie moléculaire et oncologique du CHUQ. De son côté, la Faculté de foresterie et de géomatique sera désormais dirigée par Robert Beauregard, titulaire de la Chaire industrielle sur les bois d’ingénierie structuraux et d’apparence (CIBISA) au Département des sciences du bois et de la forêt.
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PLUS DE CHAIRES
L’ajout des convoitées chaires de recherche du Canada à l’Université se poursuit avec la création de la Chaire en biologie de la chromatine et en épigénétique. Son titulaire, Jacques Côté de la Faculté de médecine, profitera d’un soutien financier pendant sept ans. Par ailleurs, une chaire industrielle a aussi vu le jour cet automne: la Chaire de recherche RBC en innovations financières, dirigée par Marie-Claude Beaulieu de la Faculté d’administration.
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BOURSE RHODES
L’une des deux bourses Rhodes attribuées au Québec va cette année à une étudiante à la maîtrise en éthique appliquée à la santé, Annick Routhier-Labadie. Native de Cap-Rouge, la femme de 21 ans est également membre de l’équipe Rouge et Or de basketball. La prestigieuse bourse lui permettra de poursuivre ses études de deuxième cycle en génie biomédical à l’Université d’Oxford, en Grande-Bretagne.
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