Pour la vie et la santé
Donner pour la vie et la santé: telles sont les visées de Sylvie Roy, l'une des 2 000 personnes ayant participé au volet Communauté universitaire 2006 de la campagne De toutes les révolutions.
Par Marie Dufour
«J’ai voulu encourager des chercheurs d’ici.» C’est en ces termes que Sylvie Roy, technicienne experte au Service de microscopie de l’Université Laval, justifie le don qu’elle vient de faire à la Fondation de l’Université, dans le cadre de la campagne de financement 2006. En quoi ce geste généreux se distingue-t-il? C’est la première fois que Mme Roy souscrit à un fonds.
«C’est tout simplement l’exemple qui a motivé mon geste. L’an dernier, des confrères de travail parlaient entre eux de leur contribution à la Fondation. En les écoutant, je me suis dit: pourquoi pas moi? » Quand elle a reçu la documentation sur la campagne de financement De toutes les révolutions, Sylvie Roy a, pour sa part, décidé de souscrire au Fonds de recherche en sciences de la vie et de la santé.
Pourquoi ce fonds en particulier? Comme l’évoque Mme Roy, il faut beaucoup d’argent pour doter les laboratoires de recherche d’équipements sophistiqués. Mais aussi pour effectuer les nombreux essais permettant de valider une découverte. Il s’agit d’un domaine des plus compétitifs, où les chercheurs les mieux subventionnés sont souvent ceux qui ont le plus de chances de réaliser des percées. Rappelons qu’au cours de la dernière décennie seulement, 25 découvertes majeures dans des secteurs de pointe ont été faites à l’Université Laval.
Contribuer à la renommée de l’Université
Par ailleurs, Sylvie Roy croit qu’il faut soutenir l’éducation: «L’Université Laval contribue sans conteste à former des personnes qualifiées répondant aux exigences toujours plus élevées du marché du travail. Donner à la Fondation s’inscrit, pour moi, dans cette perspective».
Cependant, pour cette habituée de la microscopie, l’Université Laval ne représente pas qu’une institution d’enseignement. C’est aussi un employeur figurant parmi les acteurs importants de l’économie, ainsi qu’un haut lieu de la recherche. La renommée de l’institution à cet égard dépasse largement les frontières. Toutefois, pour demeurer compétitive, pour faire progresser l’enseignement et la recherche par des programmes de bourses novateurs et attrayants, et par des fonds de recherche performants, l’Université a besoin du financement privé. Selon Mme Roy, les motifs ne manquent pas pour justifier un don.
Donatrice un jour…
«En général, je ne participe pas aux campagnes de financement, avoue Sylvie Roy. J’ai toujours craint que l’argent soit surtout utilisé à des fins administratives plutôt que pour la cause. Cette fois, je me suis laissé tenter en prenant connaissance des retombées concrètes des dons faits aux différents fonds que gère la Fondation de l’Université Laval.»
Quand elle pense à son expérience philanthropique, Sylvie Roy éprouve d’ailleurs de la satisfaction. «L’idée que mon don, additionné à celui des autres, puisse contribuer à une avancée pour la société me réjouit. Qui ne rêve pas de participer à une noble cause?» Parions que, depuis son laboratoire du Service de microscopie, Mme Roy sourira lorsqu’elle sera témoin de la prochaine découverte.
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«C’est tout simplement l’exemple qui a motivé mon geste. L’an dernier, des confrères de travail parlaient entre eux de leur contribution à la Fondation. En les écoutant, je me suis dit: pourquoi pas moi? » Quand elle a reçu la documentation sur la campagne de financement De toutes les révolutions, Sylvie Roy a, pour sa part, décidé de souscrire au Fonds de recherche en sciences de la vie et de la santé.
Pourquoi ce fonds en particulier? Comme l’évoque Mme Roy, il faut beaucoup d’argent pour doter les laboratoires de recherche d’équipements sophistiqués. Mais aussi pour effectuer les nombreux essais permettant de valider une découverte. Il s’agit d’un domaine des plus compétitifs, où les chercheurs les mieux subventionnés sont souvent ceux qui ont le plus de chances de réaliser des percées. Rappelons qu’au cours de la dernière décennie seulement, 25 découvertes majeures dans des secteurs de pointe ont été faites à l’Université Laval.
Contribuer à la renommée de l’Université
Par ailleurs, Sylvie Roy croit qu’il faut soutenir l’éducation: «L’Université Laval contribue sans conteste à former des personnes qualifiées répondant aux exigences toujours plus élevées du marché du travail. Donner à la Fondation s’inscrit, pour moi, dans cette perspective».
Cependant, pour cette habituée de la microscopie, l’Université Laval ne représente pas qu’une institution d’enseignement. C’est aussi un employeur figurant parmi les acteurs importants de l’économie, ainsi qu’un haut lieu de la recherche. La renommée de l’institution à cet égard dépasse largement les frontières. Toutefois, pour demeurer compétitive, pour faire progresser l’enseignement et la recherche par des programmes de bourses novateurs et attrayants, et par des fonds de recherche performants, l’Université a besoin du financement privé. Selon Mme Roy, les motifs ne manquent pas pour justifier un don.
Donatrice un jour…
«En général, je ne participe pas aux campagnes de financement, avoue Sylvie Roy. J’ai toujours craint que l’argent soit surtout utilisé à des fins administratives plutôt que pour la cause. Cette fois, je me suis laissé tenter en prenant connaissance des retombées concrètes des dons faits aux différents fonds que gère la Fondation de l’Université Laval.»
Quand elle pense à son expérience philanthropique, Sylvie Roy éprouve d’ailleurs de la satisfaction. «L’idée que mon don, additionné à celui des autres, puisse contribuer à une avancée pour la société me réjouit. Qui ne rêve pas de participer à une noble cause?» Parions que, depuis son laboratoire du Service de microscopie, Mme Roy sourira lorsqu’elle sera témoin de la prochaine découverte.
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