En un éclair
Des nouvelles des 50 ans des résidences, des relations de l'Université avec la Chine, d'un nouveau programme de mentorat et plus...
UN PREMIER DEMI-SIÈCLE POUR LES RÉSIDENCES
Le couloir souterrain qui relie les pavillons Alphonse-Marie-Parent et Biermans-Moraud a pris des couleurs, l’été dernier. Huit étudiants provenant de sept pays ont gagné le légendaire tunnel chaque matin, sorti leurs pinceaux et déployé leur créativité à pleins murs.
Ce projet, qui s’inscrit dans le cadre du 50e anniversaire du Service des résidences de l’Université, a mis la table pour la tenue des autres activités entourant l’anniversaire, cet automne: expositions, journée Portes ouvertes, souper international, etc.
Lorsqu’elle a ouvert ses portes en 1955, la première résidence (Biermans-Moraud) ne comptait que 300 chambres. Aujourd’hui, les quatre pavillons d’habitation de l’Université, où travaillent 70 personnes, accueillent 2 300 étudiants par an, dont un millier sont originaires d’autres pays.
Un véritable village olympique, à la fois pour la diversité culturelle et pour l’esprit des lieux, estime le directeur du Service, Jean-Claude Dessailliers. Durant l’été, les résidences sont également ouvertes aux touristes.
DESTINATION CHINE
Des ententes officielles lient l’Université à une vingtaine d’institutions chinoises, certaines en vigueur depuis plus d’une décennie. La participation du recteur Michel Pigeon à la Mission Québec en Chine, en septembre dernier, a permis la signature de 12 nouvelles ententes, dont trois accords-cadres impliquant le Centre d’optique, photonique et laser (COPL).
Divers modes de coopération sont déjà en place, sans compter ceux qu’on envisage dans un avenir rapproché: mobilité étudiante, activités conjointes de recherche et de publication, programmes conjoints de formation, etc.
SANS FIL, PARTOUT SUR LE CAMPUS
Ouvrir son portable et établir une connexion Internet sans fil est désormais possible à l’Université, que l’utilisateur se trouve dans une salle de classe, à la cafétéria, dans un couloir souterrain ou dans un espace vert.
En place depuis 2003 dans les pavillons Adrien-Pouliot et Alexandre-Vachon, ce service s’est graduellement étendu à tout le campus, de même qu’aux sites hors campus comme les édifices de la Fabrique (Arts visuels) et du Vieux-Séminaire (École d’architecture). Le nouveau réseau sans fil fonctionne sur le principe de la téléphonie cellulaire et s’appuie sur 800 petites antennes branchées au réseau câblé de l’Université.
Pour 10$ par session, les étudiants peuvent s’abonner à ce service, sur une base totalement volontaire. Plusieurs y verront un bon avantage puisque, à l’heure actuelle, plus d’une vingtaine de programmes d’études encouragent l’utilisation des ordinateurs portables.
LE MENTORAT À L’HONNEUR
Grâce au programme Mentor, des étudiants et membres de la communauté universitaire peuvent désormais bénéficier de l’expérience d’un professionnel depuis longtemps sur le marché du travail. Mis sur pied en partenariat par le Service de placement de l’Université et Entrepreneuriat Laval, le nouveau programme ne se contente pas de proposer une banque de noms.
Un coordonnateur offre aux parrains comme aux filleuls une formation, un soutien de même qu’un suivi constant. Déjà, 45 mentors se sont joints à l’équipe. Information: www.spla.ulaval.ca
SCIENTIFIQUEMENT JEUNE!
Le deuxième numéro de Krypto, l’étonnant magazine de l’Université Laval, vient de paraître. Tiré à 30000 exemplaires, il est destiné aux jeunes de 12 à 16 ans, mais plusieurs adultes ont été surpris à s’en régaler.
Cette publication annuelle présente de façon simple et amusante des projets menés par des chercheurs de haut calibre ou par des étudiants décidés à repousser les frontières du connu. Publié par la Direction des affaires publiques, Krypto est distribué dans les écoles secondaires de la région de Québec.
On peut consulter la version pdf du magazine à l’adresse suivante : www.krypto.ulaval.ca.
GRAND MARATHON INTELLECTUEL
En octobre dernier, 74 étudiants du collégial ont participé aux 24 heures des sciences humaines, délaissant activités de fin de semaine et lit douillet pour un amphithéâtre du pavillon Charles-De Koninck.
De 11h le samedi matin jusqu’à la même heure le lendemain, ils ont démontré que leur curiosité résistait au sommeil (sauf exception !) et que des questions abordées par des universitaires pouvaient les tenir en haleine. Leur défi: ne pas manquer un seul des 15 cours offerts, parmi lesquels «L’enfermement carcéral et les Autochtones» et «Pour ou contre la mondialisation».
Depuis 2002, quelque 225 élèves de partout au Québec ont participé à cette épreuve d’endurance annuelle.
CRÉER EN TANDEM
Depuis 2003, le jeudi a une saveur particulière, pour une poignée d’étudiants en Arts visuels. Toutes les deux semaines, ils consacrent leur jeudi après-midi à peindre ou sculpter en compagnie d’une personne aux prises avec une maladie mentale qui poursuit une réelle démarche artistique et avec qui ils ont choisi de se jumeler. Échange de critiques, exploration de nouveaux médiums et expression des émotions sont alors au rendez-vous.
Pour couronner le tout: une exposition annuelle présente au grand public toutes les œuvres réalisées, dans l’atrium de la Fabrique –édifice qui abrite l’École des arts visuels. Baptisé Art sans frontière, ce projet d’accompagnement unique au Québec est le fruit d’un partenariat entre l’École et le Centre hospitalier Robert-Giffard de Québec.
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Le couloir souterrain qui relie les pavillons Alphonse-Marie-Parent et Biermans-Moraud a pris des couleurs, l’été dernier. Huit étudiants provenant de sept pays ont gagné le légendaire tunnel chaque matin, sorti leurs pinceaux et déployé leur créativité à pleins murs.
Ce projet, qui s’inscrit dans le cadre du 50e anniversaire du Service des résidences de l’Université, a mis la table pour la tenue des autres activités entourant l’anniversaire, cet automne: expositions, journée Portes ouvertes, souper international, etc.
Lorsqu’elle a ouvert ses portes en 1955, la première résidence (Biermans-Moraud) ne comptait que 300 chambres. Aujourd’hui, les quatre pavillons d’habitation de l’Université, où travaillent 70 personnes, accueillent 2 300 étudiants par an, dont un millier sont originaires d’autres pays.
Un véritable village olympique, à la fois pour la diversité culturelle et pour l’esprit des lieux, estime le directeur du Service, Jean-Claude Dessailliers. Durant l’été, les résidences sont également ouvertes aux touristes.
DESTINATION CHINE
Des ententes officielles lient l’Université à une vingtaine d’institutions chinoises, certaines en vigueur depuis plus d’une décennie. La participation du recteur Michel Pigeon à la Mission Québec en Chine, en septembre dernier, a permis la signature de 12 nouvelles ententes, dont trois accords-cadres impliquant le Centre d’optique, photonique et laser (COPL).
Divers modes de coopération sont déjà en place, sans compter ceux qu’on envisage dans un avenir rapproché: mobilité étudiante, activités conjointes de recherche et de publication, programmes conjoints de formation, etc.
SANS FIL, PARTOUT SUR LE CAMPUS
Ouvrir son portable et établir une connexion Internet sans fil est désormais possible à l’Université, que l’utilisateur se trouve dans une salle de classe, à la cafétéria, dans un couloir souterrain ou dans un espace vert.
En place depuis 2003 dans les pavillons Adrien-Pouliot et Alexandre-Vachon, ce service s’est graduellement étendu à tout le campus, de même qu’aux sites hors campus comme les édifices de la Fabrique (Arts visuels) et du Vieux-Séminaire (École d’architecture). Le nouveau réseau sans fil fonctionne sur le principe de la téléphonie cellulaire et s’appuie sur 800 petites antennes branchées au réseau câblé de l’Université.
Pour 10$ par session, les étudiants peuvent s’abonner à ce service, sur une base totalement volontaire. Plusieurs y verront un bon avantage puisque, à l’heure actuelle, plus d’une vingtaine de programmes d’études encouragent l’utilisation des ordinateurs portables.
LE MENTORAT À L’HONNEUR
Grâce au programme Mentor, des étudiants et membres de la communauté universitaire peuvent désormais bénéficier de l’expérience d’un professionnel depuis longtemps sur le marché du travail. Mis sur pied en partenariat par le Service de placement de l’Université et Entrepreneuriat Laval, le nouveau programme ne se contente pas de proposer une banque de noms.
Un coordonnateur offre aux parrains comme aux filleuls une formation, un soutien de même qu’un suivi constant. Déjà, 45 mentors se sont joints à l’équipe. Information: www.spla.ulaval.ca
SCIENTIFIQUEMENT JEUNE!
Le deuxième numéro de Krypto, l’étonnant magazine de l’Université Laval, vient de paraître. Tiré à 30000 exemplaires, il est destiné aux jeunes de 12 à 16 ans, mais plusieurs adultes ont été surpris à s’en régaler.
Cette publication annuelle présente de façon simple et amusante des projets menés par des chercheurs de haut calibre ou par des étudiants décidés à repousser les frontières du connu. Publié par la Direction des affaires publiques, Krypto est distribué dans les écoles secondaires de la région de Québec.
On peut consulter la version pdf du magazine à l’adresse suivante : www.krypto.ulaval.ca.
GRAND MARATHON INTELLECTUEL
En octobre dernier, 74 étudiants du collégial ont participé aux 24 heures des sciences humaines, délaissant activités de fin de semaine et lit douillet pour un amphithéâtre du pavillon Charles-De Koninck.
De 11h le samedi matin jusqu’à la même heure le lendemain, ils ont démontré que leur curiosité résistait au sommeil (sauf exception !) et que des questions abordées par des universitaires pouvaient les tenir en haleine. Leur défi: ne pas manquer un seul des 15 cours offerts, parmi lesquels «L’enfermement carcéral et les Autochtones» et «Pour ou contre la mondialisation».
Depuis 2002, quelque 225 élèves de partout au Québec ont participé à cette épreuve d’endurance annuelle.
CRÉER EN TANDEM
Depuis 2003, le jeudi a une saveur particulière, pour une poignée d’étudiants en Arts visuels. Toutes les deux semaines, ils consacrent leur jeudi après-midi à peindre ou sculpter en compagnie d’une personne aux prises avec une maladie mentale qui poursuit une réelle démarche artistique et avec qui ils ont choisi de se jumeler. Échange de critiques, exploration de nouveaux médiums et expression des émotions sont alors au rendez-vous.
Pour couronner le tout: une exposition annuelle présente au grand public toutes les œuvres réalisées, dans l’atrium de la Fabrique –édifice qui abrite l’École des arts visuels. Baptisé Art sans frontière, ce projet d’accompagnement unique au Québec est le fruit d’un partenariat entre l’École et le Centre hospitalier Robert-Giffard de Québec.
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