David Saint-Jacques, fin prêt pour le décollage
L’ingénieur, astrophysicien, médecin et, depuis sept ans, astronaute a les yeux tournés vers les accessibles étoiles.
Par Brigitte Trudel
«Houston, avons-nous un problème?» Cette entrevue avec David Saint-Jacques (Médecine 2005) aura nécessité quelques pirouettes. D’abord, un entretien vidéo NASA–Université Laval retardé de plusieurs minutes. Puis, des ennuis logistiques et techniques qui feront jongler l’astronaute et l’auteure de ces lignes avec changement de salle, ordinateurs, écrans au mur et téléphones intelligents, soucis résolus un par un. «Ce qui compte, ce n’est pas l’embûche, mais la solution: c’est exactement la pensée opérationnelle avec laquelle on fonctionne toujours à la NASA», illustre le chaleureux personnage.
Dénicher de grands débrouillards, voilà qui figurait dans les visées de l’Agence spatiale canadienne en 2008 lorsqu’elle lançait, pour la première fois en 17 ans, un appel de candidatures pour des postes d’astronautes. «Parce que si ça va mal, il faut pouvoir résoudre tous les puzzles», précise David Saint-Jacques. Quant au reste, le gaillard dit ne pas savoir au juste pourquoi il a été recruté parmi 5351 candidats. Difficile, en effet, dans son cursus hors du commun, de pointer les données qui ont pu faire la différence. Ses multiples diplômes? Ses performances sportives avec l’équipe d’aviron de l’Université de Cambridge (Royaume-Uni)? Sa maîtrise du japonais? Sa capacité à résoudre le cube Rubik en une minute à peine? Chose certaine, son parcours éclectique témoigne d’un désir insatiable d’acquérir des connaissances. «C’est vrai, j’ai une soif infinie de tout connaître», admet-il.
Un grand explorateur
Né à Québec en 1970, avant d’habiter sur la rive sud de Montréal, David Saint-Jacques est un explorateur dans l’âme. Il dit à la blague que lui et ses deux frères ont grandi dans un camping car à la faveur de nombreux voyages réalisés avec leurs parents, le père professeur de physique au niveau universitaire et la mère enseignante en histoire au secondaire. La famille a notamment passé des étés à bourlinguer sur les routes d’Europe en Westfalia: «Mes parents nous ont donné le goût de découvrir l’étranger. C’est un précieux héritage.» Les débuts de sa vie adulte se situent dans cette foulée. Il envisage une carrière d’ingénieur, comme son père et son grand-père, et veut se former en parcourant le monde. En 1993, il obtient un baccalauréat en génie physique à l’École Polytechnique de Montréal et, en 1998, un doctorat en astrophysique à l’Université de Cambridge, au Royaume-Uni –sa thèse portant sur une manière d’augmenter la résolution des télescopes. Suivent des recherches postdoctorales au Japon et à Hawaii sur les façons de contrecarrer la turbulence de l’atmosphère terrestre lors d’observations astronomiques.
À ce stade, sinon à travers ses lentilles télescopiques, explorer le cosmos n’est pas dans les plans de David Saint-Jacques. «Petit, j’admirais les astronautes en tant que scientifiques et découvreurs, mais en devenir un me semblait être un rêve impossible», confesse-t-il. À l’aube de la trentaine, c’est la planète humaine qui l’interpelle. Il sera médecin de famille: «J’avais envie de délaisser les équations afin de me rapprocher des gens pour leur être utile.» Il retourne donc dans sa ville d’origine comme étudiant à la Faculté de médecine de l’Université Laval, meilleur passeport, à son avis, vers la pratique en région éloignée qui l’attire. «Je garde un excellent souvenir du campus et je suis reconnaissant de la formation de qualité que j’y ai reçue», tient-il à préciser.
Trouver le Nord
En 2007, David Saint-Jacques fait sa spécialité en médecine familiale à Montréal, qu’il bonifie par des stages au Liban et au Guatemala. Ces expériences lui confirment son intérêt pour le travail humanitaire. Une amie lui présente alors Marc Forget (Médecine 1993), membre de Médecins sans frontières reconnu pour ses nombreuses missions en Afrique. À la suggestion de cet homme engagé, le nouveau médecin s’installe à Puvirnituq, un village du Nunavik. Les deux omnipraticiens y seront collègues et se lieront d’amitié.
«David est très sociable, très attentif aux autres, note Marc Forget. Il démontre beaucoup d’enthousiasme et je l’ai rarement vu de mauvaise humeur.» M. Forget se rappelle leurs tournées du matin, toujours sous le signe de l’humour: «Pour dédramatiser et faire rire les autres, nous transformions les conversations trop sérieuses en joyeux délires. Ça partait bien la journée.»
Organisé, méticuleux et capable de gérer le stress sont d’autres qualités que Marc Forget reconnaît au collègue d’alors, précisant que ces attributs sont sûrement aussi utiles au métier d’astronaute, même si fort différent de la médecine. Différent, mais pas opposé, spécifie David Saint-Jacques: «Les technologies développées dans le cadre des programmes spatiaux ont des effets concrets sur le bien-être des populations. La pratique de la médecine en région éloignée est rendue possible grâce aux satellites, par exemple. L’exploration de l’espace contribue à l’évolution humaine.»
En plus de l’amitié développée avec Marc Forget, David Saint-Jacques a vu son épopée boréale marquée par la découverte du peuple inuit, auquel il voue une grande admiration. «En deux générations, les Inuits ont été projetés dans la modernité, relate celui qui enseignait le kite-surf à certains, dans ses temps libres. Mes patients les plus âgés étaient nés dans des iglous. Leur capacité de survivre en milieu très dur et leur faculté d’adaptation sont formidables. On gagnerait à s’inspirer de leurs valeurs, comme la solidarité, le respect des anciens et celui de la planète. Selon les Inuits, la Terre n’est pas un bien qui leur appartient, mais un don précieux qu’ils ont reçu et dont ils doivent prendre soin.» L’exploration spatiale a donné cette même vision de l’environnement à l’humanité, croit l’astronaute. Elle l’a amenée à prendre conscience que notre planète est fragile.
L’amour et les étoiles
Autre fait saillant de son séjour nordique: il y fait la rencontre de Véronique Morin, médecin comme lui, qui deviendra sa conjointe. C’est aussi dans le Nord qu’il a entendu l’appel des étoiles, après deux ans de pratique médicale. Nous sommes en mai 2008, le médecin est en train d’annoter le dossier d’un patient quand une collègue lui lance que l’Agence spatiale canadienne (ASC) cherche des astronautes, et qu’il devrait postuler. «Mon vieux rêve est soudainement revenu à la surface, raconte-t-il. J’ai entendu le petit garçon en moi chuchoter “S’il te plaît David, essaie”. Alors, j’ai plongé sans savoir dans quoi je m’embarquais.» Cette ignorance était peut-être une chance, car le candidat a été mis à rude épreuve pour mériter son embauche. Batterie de tests physiques, psychologiques et de personnalité, évaluation de ses habiletés de pilotage, simulations d’écrasement, d’inondation et d’incendie. Des conditions à la limite du supportable. «Mais j’étais si près du but, je n’allais pas lâcher, assure-t-il. Aller jusqu’au bout, c’est dans ma nature.»
Son acharnement l’a servi. En mai 2009, son titre fièrement acquis, la nouvelle recrue de l’ASC troquait le blizzard polaire pour un vent médiatique qui l’a porté d’une entrevue à l’autre aux quatre coins du pays. Son charisme aidant, tout le monde voulait connaître David Saint-Jacques. Passer de l’isolement du Nord à l’avant-scène médiatique ne l’a-t-il pas trop déboussolé? «La vie publique fait partie du mandat des astronautes et, au fond, je suis à l’aise dans les extrêmes», constate-t-il.
La suite? Jusqu’en 2011, David Saint-Jacques s’est consacré à son cours Astronaute 101. Dans la liste de ce qu’il a appris, il mentionne le fonctionnement de la Station spatiale internationale (SSI) et de la capsule Soyouz, le pilotage d’avions de chasse, la marche en apesanteur, la géologie, le russe, les procédures d’urgence. «J’ai aussi réalisé à quel point, en tant qu’astronaute, ma vie dépend des autres. J’avance sur les épaules des géants qui ont conçu des machines d’une complexité inouïe. Par exemple, le bon fonctionnement de notre combinaison, un genre de minivaisseau à forme humaine, est l’affaire de dizaines de spécialistes, ingénieurs et techniciens. L’enfiler nécessite aussi de l’aide, et l’opération peut durer jusqu’à trois quarts d’heure.»
Parlant de soutien, sur un plan plus personnel, il s’en voudrait de passer sous silence celui de son épouse. «Elle m’appuie depuis les débuts, signale-t-il, reconnaissant. C’est parce qu’elle a accepté de me suivre dans cette aventure que je peux la vivre pleinement.»
À quand le décollage?
Le couple réside avec ses deux fils à Houston (Texas) où David Saint-Jaques, en tant que représentant de l’agence canadienne au sein de la NASA, participe aux activités de la Station spatiale. En plus de devoir garder la forme et se spécialiser afin de maintenir ses compétences et ses certifications, il contribue de près au fonctionnement du Johnson Space Center, situé à Houston même: tester des scaphandres, réviser des processus de robotique, assister des missions en cours et élaborer celles à venir. Ses tâches varient constamment.
Autrement, il est souvent appelé à l’extérieur pour des activités de représentation. Véronique Morin, elle, fait du dépannage dans le Grand Nord, à l’occasion. Un beau défi pour la conciliation travail-famille. «On s’arrange quand même pour prendre des vacances avec les enfants, pour avoir une vie normale, précise-t-il. Tiens, j’ai conduit les gars à la garderie tout à l’heure, d’où mon retard…»
Le papa s’émeut de voir grandir ses petits, de constater leur potentiel. Les accompagner, découvrir avec eux leurs forces pour leur permettre de se transformer en bons adultes: la tâche parentale le fascine. «J’ai hâte de rencontrer les hommes qu’ils vont devenir», confie-t-il. À ses yeux, l’éducation est une priorité sociale.
Et son billet pour la voûte céleste, quand l’aura-t-il en main? «Aucun astronaute canadien ne devrait être assigné à une mission spatiale avant trois ans, peut-être cinq», répond-il. Qu’il s’agisse de se rendre à la SSI, sur la Lune ou sur Mars, malgré tous les efforts consentis, le Québécois âgé de 46 ans ne quittera peut-être jamais l’attraction terrestre. «Il serait déçu, estime son ami Marc Forget. Tous les astronautes rêvent d’aller dans l’espace!» «C’est vrai, admet David Saint-Jacques, mais ce choix dépend d’un paquet de facteurs sur lesquels nous n’avons pas de contrôle. Je peux être disqualifié si ma vue baisse, par exemple. Ou ne jamais être appelé.» En juin dernier, le Canada annonçait le prolongement de sa participation au Programme spatial international jusqu’en 2024, ce qui est une bonne nouvelle pour l’astronaute. Mais la part canadienne est plus modeste que celle d’autres pays, ce qui confère moins de chances aux astronautes du Canada de s’envoler.
Ce flou autour de son avenir, qui en laisserait plus d’un dans l’inconfort, l’aspirant voyageur de l’espace l’appréhende les pieds sur terre. «Le truc, c’est d’adorer ce que tu fais en attendant. Il faut absolument que chaque jour amène son lot de satisfactions.» Carpe Diem, un message qu’il transmet en conférence dans des écoles, ici et ailleurs: «Je dis aux jeunes “Identifiez vos rêves, respectez-les et cultivez-les, c’est essentiel, mais pas au point de vous rendre malheureux s’ils ne s’accomplissent pas”. Le but d’un rêve, ce n’est pas de le réaliser à tout prix, c’est de s’en servir comme moteur pour avancer.» Un principe que lui-même se plaît à appliquer au boulot: «Ma job, c’est de travailler sans cesse à devenir un meilleur candidat pour l’exploration spatiale. Si je suis appelé, je serai prêt.»
A-t-il peur? «Ma plus grande crainte est celle des regrets, dit-il. J’ai une conscience aiguë du temps qui passe. En cela, je sais que je devrai laisser de côté des chapitres entiers de l’expérience humaine. C’est dommage.» Étrange. On sent chez lui l’urgence de vivre de ceux qui ont frôlé la mort. D’où la tient-il? «Devenir médecin y a contribué, sans doute, avec tous ces gens qu’on soigne, fauchés en plein vol. Et puis, j’étais à la Polytechnique le 6 décembre 1989, lorsque 14 étudiantes y ont été assassinées. L’injustice aléatoire qui aurait pu m’atteindre à 19 ans m’a épargné. Ça m’a peut-être marqué…»
Chose certaine, loin de le paralyser, cette conscience lance sans cesse ce touche-à-tout dans l’action. «J’ai envie de faire le plus possible d’expériences. Au fond, je suis un gourmand de la vie.» «Et un gourmand tout court, complète Marc Forget avec humour. L’appétit de David est légendaire, comme sa tendance à s’inviter comme convive, car il est loin d’être fin cuistot.» Heureusement, les talents culinaires ne sont pas requis pour séjourner dans l’espace. Les aptitudes artistiques, par contre…? En poussant la chansonnette en direct de la SSI, au printemps 2013, l’astronaute canadien Chris Hadfield avait enflammé les réseaux sociaux. Depuis, la barre est haute. «David joue de la flûte traditionnelle japonaise Shakuhachi, mais ce serait peu populaire sur YouTube», blague Marc Forget.
C’est encore drôle. Rien ne semble résister à cet être d’exception. Avec sa bouille sympathique et son talent, il a le pouvoir de déjouer les statistiques. Qui sait? Dans un certain futur, popularisés par David Saint-Jacques, des airs de cet instrument mystérieux atteindront peut-être les sommets des palmarès. Tant qu’à grimper vers les étoiles…
NDLR : Le 16 mai 2016, l’Agence spatiale canadienne a annoncé que David Saint-Jacques s’envolerait en novembre 2018 pour la Station spatiale internationale où il sera en mission jusqu’en mai 2019.
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D’autres diplômés qui ont la tête dans les étoiles
Par Mélanie Darveau
De l’art à la médecine, en passant par la vulgarisation scientifique et l’ingénierie aérospatiale, nombreux sont les domaines où nos diplômés s’intéressent, d’une manière ou d’une autre, à l’espace et à ses mystères.
Raffi Kuyumjian (Médecine 1997; Médecine familiale 1999) est médecin-chef à l’Agence spatiale canadienne (ASC). Il a notamment été médecin de vol de l’astronaute canadien Chris Hadfield, en 2013. Son rôle: veiller à la bonne santé des astronautes de l’ASC avant, pendant et après les missions. De son côté, Marc Simard (Physique 1994, Sciences géodésiques 1998) est, entre autres, chercheur en télédétection radar au Jet Propulsion Laboratory, organisme chargé de la supervision des vols non habités de la NASA. Ses recherches portent sur le développement et l’application scientifiques de nouvelles technologies radar permettant la cartographie en 3D de la Terre afin d’étudier, notamment, l’incidence des changements climatiques sur les forêts ainsi que la circulation océanique et le débit des eaux partout sur la planète. Et Frédéric Pelletier (Génie mécanique 1998) a travaillé plusieurs années pour la NASA avant de joindre l’équipe de KinetX International, une entreprise spécialisée en dynamique spatiale qui collabore avec l’agence américaine. Il a, entre autres, participé au lancement de Juno vers Jupiter, à l’atterrissage de Curiosity sur Mars et a été chef de navigation de la sonde New Horizons qui avait pour mission de cartographier Pluton et de recueillir différentes données sur son atmosphère, sa géologie et sa morphologie.
Frédéric Grandmont (Génie physique 1999, Physique 2004 et 2006) a mis au point, lors de ses études doctorales, un spectromètre imageur destiné à l’Observatoire du Mont-Mégantic. Au sein de la firme québécoise ABB et en collaboration avec l’équipe de Laurent Drissen, astrophysicien et professeur au Département de physique, de génie physique et d’optique, Julie Mandar (Physique 2012) et Frédéric Grandmont ont ensuite adapté l’instrument pour le Télescope Canada-France-Hawaii (TCFH). Baptisé Sitelle et livré à Hawaii en mai 2015, ce spectromètre permet une collecte de données astronomiques beaucoup plus efficace que les instruments du même type. Parlant du TCFH, c’est un diplômé de l’Université, Daniel Devost (Physique 1994, 1995 et 2004), qui y dirige les opérations scientifiques.
L’Université a aussi engendré son lot de chasseurs de planètes et d’étoiles! Marie-Ève Naud (Physique 2007) a découvert, en 2014, une exoplanète dont la masse est d’environ 10 fois celle de Jupiter. Trois professeurs ont également fait la découverte d’une étoile très rare. Laurent Drissen, Carmelle Robert et Jean-René Roy, tous trois professeurs au Département de physique, de génie physique et d’optique lors de la découverte, en 1996, ont répertorié une étoile lumineuse bleue variable, un objet céleste rarement signalé; à cette époque, on en comptait seulement cinq dans notre galaxie et une vingtaine dans l’Univers.
L’étude de l’immensité du ciel semble souvent réservée à une poignée de savants. Or, certains diplômés se font un devoir de rendre ces savoirs accessibles à tous. Sébastien Giguère (Philosophie 1999) est l’un d’eux. Coordonnateur scientifique à l’ASTROLab et responsable de l’éducation au parc national du Mont-Mégantic, il se proclame «gardien de l’émerveillement». Responsable de la programmation –expositions, présentations, visites guidées, etc.– il veut faire découvrir le ciel étoilé au plus grand nombre. Pierre Chastenay (Physique 1986 et 1987) est également vulgarisateur; il anime depuis près d’une dizaine d’années l’émission Le Code Chastenay à Télé-Québec et a été responsable des activités éducatives du Planétarium de Montréal, de 1988 à 2014.
France McNeil (Arts visuels 1994), quant à elle, s’inspire de l’infini du cosmos pour créer des œuvres où se côtoient différentes approches et techniques artistiques. Sans oublier Marc Garneau, premier astronaute canadien à aller dans l’espace et récipiendaire d’un doctorat honoris causa de l’Université Laval en 1985, ainsi que Julie Payette, récipiendaire du même honneur en 2000, année suivant sa mission à bord de la navette Discovery.
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À la liste, svp me rajouter, ayant initié cette activité en 1984 à la NASA, Floride:
NASA - National Aeronautics and Space Administration
Juin 1984 – June 1984 (1 month)
Kennedy Space Center, Florida
À titre de «US Defense Trade Partner», j’ai initié et piloté complètement la seule mission commerciale canadienne afin de participer aux discussions lors d'un «Industry Briefing» à la NASA intitulé: «GOVERNMENT, INDUSTRY LEADERS TO DISCUSS COMMERCIAL USE OF SPACE».
Un représentant de l'équipe du Dr Fernand Labrie était présent ainsi que d'autres universités québécoises.
Cette activité annonça la construction de la Station orbitale permanente par la NASA et ses pays partenaires.
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